| | | Stan alias Stanislav Vitali |    |
| | Auteur | Message |
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Stanislav Vitali
Classe C
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Feuille de personnage
Relations :
 |  Sujet: Stan alias Stanislav Vitali  Dim 12 Sep - 21:57 | |
| Nom : Vitali
Prénom : Stanislav
Surnom : Tout le monde l'appelle Stan, il interdit que les gens emploient son prénom, le détestant.
Age : 16 ans, mais fait à croire à tout le monde qu'il en a 18.
Profession : Soldat assigné à la sécurité du mur.
 Taille : Pas très grand ! Il fait, très exactement pour entrer dans les détails,1m64, 5 pieds 3 (un peu au dessus du ‘’et demi’’), 164 centimètres.
Corpulence : Stan n'est pas considéré comme étant très gros. Juste dans la moyenne. Environ soixante kilos, il paraît au premier coup d’œil très bien. Pas sous-alimenté… pas suralimenté non plus. Toutefois relativement assez musclé, principalement au niveau des jambes, il se montre en bonne forme physique.
Allure générale : Stan n’est pas très impressionnant en soit. Particulièrement expressif, il ne cache rien de ce qu’il peut penser de quelqu’un, peu importe de qui il s’agit. Il démontre par grimaces, regards menaçants, expressions colériques, sourires sarcastiques, lors qu'il ne se plait pas en présente d'une personne en particulier. En bref, il est très facile de percevoir ses émotions. Du moins, celles qu’il veut bien laisser paraître. Toutefois, son manque de grandeur, malgré les menaces verbales qu’il profane envers ceux qu’il déteste vraiment, procure surtout l’hilarité alors qu’on ne le prend généralement pas trop au sérieux. Rapide, il semble davantage préférer courir que marcher tranquillement. Et s’il ralenti le pas, ce n’est donc que dû à l’humeur sombre dont il pourrait être en proie.
Visage d’adolescent frustré, il y a dans le regard d’un gris orageux une intensité mordante, un ‘’look’’ prêt à tuer au moindre instant, passant de colère à tristesse. Il parle beaucoup par les mots, mais les yeux ont parfois tendance à le trahir. Une très légère barbe, parfois, tapisse son menton, principalement, qu’il entretient ou non, dépendant toujours de l’humeur avec laquelle il se réveil. Chevelure très foncée, d’un brun à la limite du noir, qu’il entretient particulièrement, très épaisse et longue aux épaules, environ.
Démarche assurée, bien qu’il donne un effet très nerveux. Il a la gâchette facile lorsqu’il tien une arme en main, il préfère laisser la sécurité en place, en présence d’autrui, pour éviter le moindre accident. Il est sec dans ses mouvements, preuves de son aspect rageur.
Style vestimentaire jeune, qui refuse de se démoder, entre le jeans foncé, troué ou pas, les chaussures un peu vieilles, qu’il refuse de changer, les tonnes de manteaux et/ou chandails par-dessus il ne compte plus le nombre de t-shirt et/ou camisole. Teintes sobres, sombres, noires, grises. Rarement du brun. Encore plus rarement de couleurs flashy. Bref, il fait tout dans la discrétion et ne se fait, généralement, jamais remarquer de par son style vestimentaire. Ceci dit, ce n’est que des vêtements en dehors de son rôle de soldat, alors qu’il porte, à ce moment, plutôt l’uniforme.
Particularités : /
 Qualités et défauts : Stanislav… Il serait très fortement conseillé de commencer par ce qui l’agace le plus. Son prénom. Il le déteste. Il le déteste plus que lui-même. Il ne le dit donc pas, sauf sous grande nécessité. C’est Stan, donc. Ça et seulement Stan, qu’on se le tienne pour dire. Ou à la limite des choses, l’interpeller par son nom de famille ne lui fait rien en particulier non plus.
Il n’était pas comme le présent, autrefois. Avant l’Invasion, tout était différent. Tout était différent pour tout le monde, avant. Mais ça l’a changé du tout au tout. Au départ, il avait été un enfant rieur, plein de bonne foi, de bon cœur, surtout, et particulièrement représentatif de l’image innocente. Un petit bonhomme plein d’entrain et de gaieté. Mais s’il était resté comme ça… Il serait mort, n’est-ce pas? Il n’aurait pas survécu…
Il n’était donc pas ainsi. Pas un de ces ados du passé. Un gamin ayant grandi trop vite parmi tant d’autres. Ce n’était plus la tragédie ou le drame, ça en devenait la banalité de leur existence même. Vivre ou mourir. Lui avait décidé de vivre. Pour bien le définir donc, certains l’ayant connu le disent « tout feu, tout flamme ». Il avait mis un certain temps à comprendre la signification réelle de ces termes, mais s’en satisfaisait, s’y plaisait bien. Il était l’image même de la colère refoulée. Celui de l’enfant dans le corps d’un presque adulte. Celui qui refuse de vieillir. Celui qui hurle à l’injustice. Un caractère enflammé que rien n’éteint. Une explosion constante, un volcan déferlant sa lave autour de lui. Ce n’est pas de la haine. Loin de là. Juste un passé qui l’aurait blessé profondément. Juste un avenir dont il se répugnait. Juste un présent dont il se révoltait bravement. Juste un future dans lequel il se voyait mort. Indomptable. Une bête sauvage qui se débattait rudement à travers les chaines qui la lies. Comme s’il cherchait l’impossible liberté. Stan se cache derrière cette image d’éternel gamin incurable, de rebelle infantile qui hurle au moindre dérangement. Il se plaint, rechigne devant un ordre, tout dépendant toujours duquel et de qui il le reçoit. Mais vraiment, toute cette mascarade n’est qu’une parade pour cacher ce qu’il est. C’est le moyen qu’il aura trouvé, lui, pour survivre. Il se sera forgé dans le mensonge de lui-même, jusqu’à s’y perdre complètement, à jouer les forts alors qu’il ne l’est pas du tout. Il est même plutôt du genre à aller pleurnicher dans son coin, lorsqu’il est seul, parce que la peur et l’angoisse se saisit de lui.
Et oui. Derrière ses airs un peu agressif parfois, jouant l’indifférent, feignant la vérité, il est un peu différent. Il fera de son mieux pour camoufler sa maladresse. Maladresse dont on se moque généralement et qu’il peut aller jusqu’à défendre par coups de poings de colère. Il réagit ainsi, par agressivité, en se sentant visé, honteux d’être quelque chose qu’il cherche à supprimer. Si on le surprend dans un moment de faiblesse, de grande tristesse, se sera pareil. Il contredit avec violence, même s’il regrette amèrement, par la suite, sa réaction au quart de tour, qu’il en garde des remords.
Très refoulé, aussi, le garçon ne sait plus faire qu’une chose : subvenir à sa survie. De ce fait, il ment et triche, malgré les possibles conséquences que cela implique. Et la première chose sur laquelle il ment : c’est son âge. Et oui ! La vérité étant qu’il n’a que seize ans. Il a la possibilité de se faire adopter. Toutefois, il ne le désir pas, se refusant de vouloir avoir une ‘’deuxième famille’’ après la sienne.
Sinon, pour casser un peu le côté particulièrement ‘’négatif’’ du personnage, faisons un peu plus dans les qualités. Stan à bon fond, bien malgré ce qu’il démontre. S’il arrive à s’attacher à quelqu’un ou quelque chose, c’est pour la vie. Rien ne le fait changer d’idée. Il en devient prêt à se sacrifier pour l’individu. Fidèle comme jamais à ceux qu’il appréci vraiment, aussi peu nombreux soient-ils, se limitant à… une seule personne, en réalité. La seule qui à pu goûter à la personnalité attachante du garçon, de sa générosité et son dévouement possible. Mais ça, qui peut le voir s’il le cache si creux en lui?
Croyances et espoirs : Le jeune n’est pas ‘’croyant’’. Il a oublié. Il se dit qu’il n’y a plus rien pour eux. Il persiste à croire qu’il n’y a qu’eux et eux seuls, et que c’est exactement leur faute s’ils en sont tombés aussi bas. Il croit, dure comme fer que personne ne pourrait le lui en faire démordre que l’invasion n’est pas le fruit d’un chemin cruel et hasardeux. Qu’ils en sont la cause. Elles sont apparues pour les détruire… Tous. Elles sont là pour juger leur existence en ce monde en perdition. Il ne croit toutefois pas que tous méritent exactement de périr des griffes sanglantes. Qu’il y a toujours possibilité de changement chez sa propre race. C’est pourquoi aussi qu’il ne permettrait pas à quelqu’un de se faire assassiner par l’une d’entre elles, sans rien faire contre. (Précisons toutefois qu’il laisserait mourir un probable classe A et serait porté à favoriser un Classe D. Humaniste? Égoïste? Il a plutôt le sentiment que les D, même s’ils ne sont pas riches ou quoi que ce soit, sont humains aussi, et méritent autant qu’un autre de vivre, et considère que les ‘’hauts’’ ne pensent pas ainsi, préférant de loin le ‘’je, me, moi’’ au ‘’vous, nous, ils’’. )
Il espère donc à un changement, ayant sa vision des choses propre à lui. S’il est prêt à faire de l'entraider, à tendre la main aux gens, il ne tendra pas la sienne envers quelqu’un qui ne le veut pas. Il a bon cœur, mais sa rancune l’empêche de répondre avec générosité envers ceux qui n’en font pas preuve en retour.
Regrets et angoisses : Ce qu’il regrette probablement le plus au monde? Son jeune âge. Il ne cesse de se dire qu’il s’il avait été plus vieux, plus fort, moins braillard, plus solide, il aurait pu défendre sa famille au moment de l’invasion, il aurait pu les aider à s’échapper au lieu de les voir se sacrifier pour lui. Ceci est une pensée qui le harcel réellement, au point d’avoir fini par créer chez le garçon une forme d’insomnie.
Évolutions possibles : Ce n'est pas encore certain. Toutefois, il est envisagé une possibilité d'avancée dans le caractère, un changement brutal pour X raisons.
Particularités : /
 Origines : Russie
Histoire personnelle : Petite histoire banale que la sienne. Une enfance silencieuse, tranquille, sans la moindre arnaque, pas d’histoire de trahison, d’enfant maltraité, par de drame familial, rien. Juste la paix. Juste le calme. Juste les éclats de rire. Juste un soleil qui baignait les membres d’un seul sang dans la quiétude. Quatre. Ils étaient quatre. La femme était Russe de pure sang, pareillement pour le père. Elle était la douceur incarnée qu’elle s’amusait à voir traverser la génération de ses propres enfants. Son père était plus coriace, plus taquin et moqueur, avec un caractère beaucoup plus trempé. Des deux, se fut Stan qui en hérita le plus. Son frère, plus vieux de trois ans, se montrait un être particulièrement attentionné et protecteur envers le cadet. Tous deux s’entendaient même merveilleusement bien ensemble, alors qu’on les surnommait partout ‘’les inséparables’’. Il n’y avait absolument rien à dire à leur sujet, si ce n’était des liens solides qui unissaient les membres, l’un a l’autre, de façon si indestructible qu’il aurait semblé que rien ne puisse briser leur cœur, ou les diviser. Ils comptaient les uns sur les autres, comme les cinq doigts de la main. Et pour rien au monde le gamin n’aurait voulu changer cela. C’était de l’affection à l’état pure, tout simplement. Stan est né en Russie, comme son frère. Et la petite famille eut toujours restée à Saint-Pétersbourg.
Et l'invasion?Il avait huit ans, à cette époque. Huit très jeune années de passées seulement, à vivre paisiblement. À huit ans, il est aussi très facile de perturber un enfant. Le moindre choque tragique suffit pour en déstabiliser un jusqu’à la fin de ses jours. Il jouait dans le salon avec le chaton, à ce moment-là. Une mignonne petite créature au poil gris comme ses iris. C’était d’ailleurs pour cette raison qu’on le lui avait acheté. Ce fut à ce moment que tout bascula. Un boucan infernal se fit entendre dans le mur qui lui faisait face, alors que les rires cessèrent pour ne plus jamais revenir ensuite. L’animal s’était enfui et l’enfant restait là, curieux et tétanisé à la fois. Un son provenait de l’extérieur, un gargouillis inquiétant qui alerta l’homme de la famille à se précipiter au salon. Une paire de bras l’attrapa alors qu’un second choc, cette fois, vint secouer le mur en entier. Il ne pleurait pas, il se questionnait, surtout. Il fut soulever du sol et il se retrouva à enlacer le cou de son père de ses petits bras, par réflexes, et à s’y agripper alors qu’il l’entendait appeler son frère. Et au moment où il quittait la pièce… Le mur céda. Stan hurla comme jamais il ne l’avait fait. Comme s’il avait espéré effrayer le monstre cauchemardesque. Comme s’il avait espéré que son père courre plus vite, ce soir-là. Comme s’il avait espéré seulement pouvoir se réveiller de l’horreur qui l’habitait soudainement.
La tête énorme se tourna vers lui et le dos de son paternel alors qu’il tendait le bras dans la direction de la créature qui siffla, alors que l’enfant croisait le regard sanglant, se le mémorisant. Ce fut d’ailleurs l’une des seules choses dont il arriva réellement à se rappeler. Effectivement, si les gens le lui demande, il répond : ‘’avez-vous vu son regard? Avez-vous touchez ses pensées en l’observant…?’’ C’est lugubre, sur le ton le plus tremblant et perturbé qui soit. Il déteste aborder ce sujet… Ce qu’il y vit, dans ces rubis dont le sang coulait en flot continue, se déversant de haine sur lui, c’était la mort. La sienne. Celle de tous. C’était le sang, la colère, l’agressivité. Il n’y avait rien d’autre. Juste la violence. Juste l’envie du meurtre, de la tuerie. C’était tout ce qui lui restait… ça et l’impressionnante quantité de sang projetée sur son visage de gamin. Les yeux exorbités de son père qui fixait l’enfant alors qu’il tombait vers l’avant, se projetant sur le sol froid avec le petit corps toujours dans les bras. Traumatisme. Il se plaça par-dessus. Le gamin ne pouvait qu’observer les rictus douloureux, les larmes, les hurlements qui sortaient de la bouche de son paternel, qui lui criait de partir. Et tout ce rouge qui lui dégoulinait dessus, surtout.
Il le força à se dégager et l’enfant déguerpi, tournant seulement la tête une fois en arrière pour voir si son père le suivait. En vain. Tout ce qu’il vit fut le corps en lambeaux. Il n’en restait plus rien… Il ne le reconnaissait pas. Sa mère l’attrapa brutalement et ils sortirent par la porte arrière, allant rejoindre son frère, dans le fond de la cours. Ils n’avaient pas encore été repérés et se dissimulèrent dans la petite cabane. Ils se cachèrent là, bien attentif à tous les bruits qui les entouraient. Et elles se rapprochaient, ils le savaient tous. Le petit corps fragile du cadet tremblait de plus en plus alors qu’il constatait toujours la tâche couleur vin sur lui, sur ses mains et ses vêtements. Le mur fut enfoncé sous le hurlement de la femme qui arracha ses deux fils de là, les propulsant à l’extérieur et les priant de filer avant qu’il n’en soit trop tard. Et elle referma la porte. Stan ne su jamais comment la bête la tua, si elle la dévora, mais les cris de douleurs avaient fini par s’estomper pour ne devenir que gargouillements inaudibles. Et alors qu’ils fuyaient, son frère qui lui tenait la main fut happé au même moment. Pas un son. Rien. Il ne sentit pas de douleur dans cette mort. Et il fuit. Se perdant dans le flot de larmes qui éclatait enfin, alors qu’il commençait à peine à prendre conscience de ce qui arrivait.
Il fut coincé à son tour. C’était à lui de périr, probablement. Il était si fatigué, si… Sous le choque, surtout, qu’il s’effondra alors que la créature bondissait vers lui. Lorsqu’il se réveilla, il avait la tête bandée, avait la migraine, mais le sang avait disparu. La femme se nommait Maria. Elle le sauva ce soir-là. Elle le sauva aussi pour le restant de son existence… Et lui changea du tout au tout. Elle comprenait toutefois l’étrange réticence de l’enfant face à l’adoption qu’elle lui proposa, lorsque les choses se furent un peu arrangées. Il était blessé, au plus profond de son âme, et refusait d’appartenir à une autre famille, maintenant que la sienne avait été complètement dissoute… Son plus grand malheur. Celui de tout un peuple, sans doute, mais il n’en avait que faire. Lui souffrait et refusait de voir celles des autres. C’était la fin du monde. La fin d’un monde. Le sien.
 Date d'arrivée : 14 avril 2010 (date de naissance, il y est toujours resté)
Raisons de votre présence à Saint-Pétersbourg : Il y est né, et a décidé de ne pas le quitter.
Activité exercée : Soldat assigné à la sécurité du mur. En vérité, il n'aurait probablement jamais pu faire ça. Il a mentit sur son âge pour pouvoir obtenir la sécurité d'un endroit où dormir et d'un toit, loin des coins violent de ce monde auquel il a... toujours appartenu. Il consiste d'abord à suivre les ordres, bien malgré lui, bien qu'il s'amuse à faire preuve d'autant d'acte de rébellion que possible soit. La protection d'autrui, mais plus particulièrement, pour lui, la protection de Maria qui compte, maintenant, plus que tout à ses yeux. Surveillance, déambulation... Stan vient aussi tout juste de terminer sa formation, il est donc possible pour lui d'être sur le terrain.
Lieu de résidence : Étant soldat de l'armée, il a sa place parmi les autres, à son lit à lui, son toit, ainsi qu'un petit casier tout simple. Il n'a donc pas d'endroit réellement propre à lui-même.
 Pour Stan, ceci est complètement inutile, futile, ridicule, blasant, lassant, contradictoire à ses propres espoirs. L'homme veut se rendre plus fort ? Il cherche le pouvoir pour ensuite mieux se détruire. Voilà ce qu'il en a conclu. De ce fait, il reste le plus loin possible de ce qui peut s'appeler Xanadu ou ayant le moindre rapport avec l'injection.
Dernière édition par Stanislav Vitali le Jeu 16 Sep - 1:48, édité 1 fois |
|  | | Gabriel Wolves
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| | Sujet: Re: Stan alias Stanislav Vitali Mer 15 Sep - 5:16 | |
| Désolé pour cette attente, Stan.
A vrai dire, en dehors d'une relecture approfondie (il y a un peu trop de fautes et des mots mis à la place d'autres), je ne vois strictement rien à dire à propos de cette fiche. Le personnage m'a l'air fort intéressant et bien fouillé comme tu sais les faire !
Ah si, tiens, mais vraiment juste pour t'emmerder. Comment il fait pour garder les cheveux longs alors qu'il est dans l'armée? (si tu me réponds que son capitaine a les cheveux longs, je te réponds que c'est de la triche). |
| | | | Stanislav Vitali
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| | Sujet: Re: Stan alias Stanislav Vitali Mer 15 Sep - 21:52 | |
| Son capitaine à les cheveux longs  Et bien, je me suis dit que ça étirait le côté encore plus rebelle du personnage, de refuser de se plier à cette règle et que, donc, il faudra le raser de force x) EDIT: Correction effectuée. |
| | | | Gabriel Wolves
R.O. Graphico-RP
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| | Sujet: Re: Stan alias Stanislav Vitali Sam 18 Sep - 14:26 | |
| Hello, Stan.
Pense à nous prévenir quand tu auras fait ta correction surtout. Et au vu de mon absence pour les quelques jours à venir, n'hésite surtout pas à prendre contact avec Rich' ou Heather si tu as besoin d'un coup de main dans le domaine, ils ne mordent pas plus que moi, tu verras. |
| | | | Stanislav Vitali
Classe C
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| | Sujet: Re: Stan alias Stanislav Vitali Sam 18 Sep - 14:32 | |
| Euh oui, pardon... *toussote* J'avais édité sans penser...
Donc correction faite (je ne garantie pas sa perfection, m'enfin... :/) |
| | | | Friedrich Shills
R.O. Critico-technique
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| | Sujet: Re: Stan alias Stanislav Vitali Sam 18 Sep - 22:40 | |
| C'est largement suffisant, à mon sens.
Un personnage intéressant, le style nerveux de l'écriture colle bien aux idées et au caractère du personnage.
Allez zou, tu as assez attendu comme ça. Validé !
Direction le profil, la fiche de personnage, le formulaire pour avoir ta carte d'identité et une petite présentation dans le flood.
Tu peux d'ores et déjà commencer à RP par demande de RP, MP, chatbox etc...
A très vite |
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| | Sujet: Re: Stan alias Stanislav Vitali | |
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| | | | | | Stan alias Stanislav Vitali | |
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