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 Gabriel Wolves

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AuteurMessage
Gabriel Wolves
R.O. Graphico-RP

R.O. Graphico-RP
Gabriel Wolves


Messages : 293


Feuille de personnage
Relations :

Gabriel Wolves _
MessageSujet: Gabriel Wolves   Gabriel Wolves Icon_minitime1Mar 17 Aoû - 23:11

Gabriel Wolves Identite
    Nom : Wolves, mais il ne l’utilise pas. Tout le monde l’appelle Gabriel, ou Lieutenant.
    Prénom : Gabriel.
    Surnom : Gab’, mieux vaut être très proche de lui pour qu’il tolère qu’on l’appelle ainsi.
    Age : 32 ans
    Profession : Chef mercenaire


Gabriel Wolves Apparence
    Taille : 1m91
    Corpulence : Plutôt mince étant donné sa taille, il n’a en tout cas pas un poil de graisse sur un corps tout en muscles et en puissance contenue. Plutôt noueux, son corps est entièrement dédié à son métier, à l'agilité, la réactivité et la puissance nerveuse plus qu'à la force brute.

    Allure générale : Gabriel ne fait pas dans la demi-mesure, il a parfaitement l’air de ce qu’il est, un homme rude, dont la jeunesse a été écourtée bien trop tôt par une vie difficile. Un visage pointu, pas franchement beau, des sourcils aussi charbonneux que ses cheveux et la barbe de trois jours qu’il ne rase que lorsqu’elle devient trop longue à son goût. Des yeux dont le bleu se rapproche beaucoup de la couleur des glaciers, qui conviennent parfaitement à son regard incisif et bien peu chaleureux. Ses sourcils semblent perpétuellement froncés, à croire qu’il a constamment quelque chose à reprocher au monde qui l’entoure. Sa voix grave légèrement éraillée pourrait rattraper le coup, si seulement elle n'était pas aussi souvent sèche et tranchante.

    Ses loups sont presque les seuls qui pourraient en témoigner, mais lorsqu'il sourit et rit, on retrouve en lui le jeune homme qu'il aurait été dans une autre vie.
    Sa démarche est celle d’un homme sûr de lui, sûr et certain, de ce qu’il est autant que de sa destination. La plupart du temps, même lorsque cela n’est pas entièrement nécessaire, il porte son armure, arguant du fait que la ville est tout sauf sûre. Lorsque ce n’est pas le cas, c’est un adepte du sweat à capuche et du pantalon baggy. Il ne se complique jamais la tâche lorsqu’il s’agit de son habillement, portant beaucoup plus d’attention et de soin à son équipement de combat.
    Il a toujours au moins une arme sur lui. En général, bien plus. Un couteau de l’armée russe, un poignard cranté, un révolver et une mitraillette à canon court constituent son arsenal de base. Méfiant le gaillard? Et comment. Cela se ressent d'ailleurs dans son attitude en général, distant, souvent placé en retrait pour pouvoir observer ce qui l'entoure, on peut dire sans se tromper qu'il est sur le qui-vive en permanence et que cela se voit dans ses postures. Il est grand et il est de ceux qui n'en tirent strictement aucun inconfort, il se tient droit - restes de son passé militaire -, regarde ses interlocuteurs droit dans les yeux et n'hésite pas à jouer de sa taille pour s'imposer et en imposer. Ils sont nombreux à sentir un léger frisson de sueur froide courir le long de leur échine lorsqu'il les regarde de haut.

    Particularités : Une cicatrice tranchant son visage de l’ailette gauche du nez jusqu’à son oreille. Une croix orthodoxe couvrant l’ensemble de son dos. La seule sépulture que peut espérer un soldat.

Gabriel Wolves Psychologie
    Qualités et défauts : Gabriel dégage quelque chose de magnétique, qui tient certainement à sa force de caractère, à sa froideur et à son assurance. Posé et discret dans l’ensemble, il n’est pas du genre bavard, surtout en ce qui concerne sa personne. Sec et tranchant, trop habitué à diriger pour délaisser facilement son rôle de lieutenant, il n’est pas rare qu’il vexe ses interlocuteurs. Et pour tout dire, il s’en soucie comme d’une guigne. Son premier, et presque unique objectif, est d’assurer la cohésion de sa meute. Il vit par et pour eux, y ajoutant parfois les quelques personnes qu’il considère comme proches. Homme de principes, mais non épris de justice, lorsqu’il accepte une mission, il la mène à son terme quoi qu’il arrive, il en va de même pour ses promesses. Il sourit et rit bien peu, tout du moins à l’extérieur. Seuls les membres de sa meute connaissent le Gabriel plus détendu, celui qui n’est pas perpétuellement sur le qui-vive et prêt à défendre chèrement sa vie.

    Franc, il est ce qu’il est, ne s’en cache pas et ne se cherche pas d’excuses. Exigeant avec les autres, parfois hautain, souvent violent lorsqu’on le cherche, il ne fait de cadeaux qu’à ses proches et ce en de bien rares occasions.

    Gabriel est un pur produit de la brutalité du monde dans lequel il a toujours évolué, la douceur et la tendresse sont des choses qui ne lui sont certes pas inconnues mais si peu familières qu'il ne les recherche plus depuis bien longtemps. Son affection pour quelqu'un s'exprimera principalement dans le souci qu'il se fera pour sa sécurité, et parfois, malheureusement, dans l'exigence dont il fera preuve. Homme d'action, il supporte mal l'oisiveté quand il ne la choisit pas. Cependant, même s'il n'a clairement rien d'un érudit ou d'un homme particulièrement cultivé, il est doté d'une intelligence acérée et d'un sens de l'observation remarquable. Dévoué à ses loups autant qu'ils sont dévoués à lui, il les guidera jusqu'au bout de ses capacités et donnerait tout pour eux. Cynique quant à la nature humaine, en ayant trop vu pour croire encore à un hypothétique espoir ou à de la feinte gentillesse il fait preuve d'un humour mordant et parfois particulièrement noir. Après tout, il est et reste persuadé qu'il mourra jeune, lucide quant aux dangers auxquels il expose sa vie, cela n'en fait pas quelqu'un de très joyeux, il est vrai.

    Croyances et espoirs : Désabusé par l’existence, il ne croit plus qu’en une seule chose, la force de sa meute. Il les mènera jusqu’au bout et n’a pas d’autre raison d’exister que les trois loups sous ses ordres. Un espoir? Un seul et unique, celui de mourir avant ses loups. Il doute de pouvoir supporter d'en perdre un seul.

    Regrets et angoisses : Une angoisse profonde, celle de perdre un de ses hommes à cause d’une erreur. C’est ce qui le rend si exigeant et strict dans son rôle de lieutenant. Il ne tolère pas de faiblesse de sa part. Un regret qui ne s’effacera jamais, celui d’avoir vu une famille entière de ses amis mourir sous l’assaut de Créatures et de n’avoir rien pu faire pour les sauver. Certainement la raison de son renfermement et de son rejet presque automatique de toute relation trop proche.

    Évolutions possibles : Des missions, encore et toujours. Peut-être un accident qui remettrait sa vie en question, peut-être une relation qui le forcerait à s’ouvrir, mais il n’a pas l’intention de déroger à ses principes.

    Particularités : Un commandant exemplaire, que ses hommes suivraient jusqu’aux portes de l’enfer s’il le leur demandait. Des connaissances stratégiques particulièrement utiles et une formation d’infirmier de terrain qui lui permet de parer au plus pressé en cas de problème.

Gabriel Wolves Antecedents
    Origines : Hongrois.
    Histoire personnelle : Une jeunesse difficile, Joszef Madgyar, petite frappe dans les rues de Budapest, était gamin vaniteux et trop sûr de ses capacités, à qui il manquait un mentor. Né d'une mère de souche hongroise et d'un père Rom et surtout absent, il a très vite fait montre d'un mépris presque intolérable à l'encontre de sa génitrice. Femme faible et geignarde, qui subissait son existence, s'en plaignait à longueur de journée sans jamais rien faire pour s'en extraire, elle ne portait pas plus de respect à son fils qu'il ne lui en accordait.
    Très vite, Joszef a fui l'atmosphère on ne peut plus étouffante de ce qu'il était tout simplement incapable de considérer comme un foyer et a trouvé refuge dans la rue. Un refuge brutal et sans pitié, dans lequel la violence était le seul moyen de s'exprimer. Il s'y endurcit considérablement, et à force de querelles et de prises de bec, apprit à se battre. A seize ans, on lui en donnait déjà bien plus de vingt. Grand, fort, le visage déjà marqué par l'existence, il s'enorgueillissait de ses capacités et jouait de ce charme rude qui était déjà le sien pour obtenir des femmes de sa connaissance les miettes d'un plaisir déjà fort malmené. Il rentrait pourtant chez lui, presque tous les soirs, guidé par ce besoin de trouver un foyer, une famille, qui elle ne lui ferait pas défaut. Et la déception perpétuellement ravivée ne faisait qu'attiser ses humeurs belliqueuses et méprisantes. Plusieurs fois, il connut les menottes, les gardes à vue musclées, il fit même quelques semaines de prison à la veille de ses 17 ans. Les délits commis étaient toujours les mêmes. Agressions, à main armée ou non, coups et blessures, atteinte à la dignité des forces de l'ordre. Il ne volait pas, ne vandalisait pas, ne trafiquait aucune drogue, aucun objet volé, jamais.

    A sa sortie de prison, le jour de ses 17 ans, ses pas reprirent le chemin de l'appartement miteux de sa mère. Et lorsqu'il entra, ce fut pour se retrouver nez à nez avec le canon d'une arme tenue par une main trop épaisse et trop tannée pour être celle de sa mère. Son père, qu'il n'avait vu que de loin en loin durant sa plus tendre enfance, était de retour au bercail.
    Le plaisir que Joszef prit à sa présence fut de très courte durée. Bien vite, il en vint à mépriser son père bien plus encore que sa mère. Ivrogne, usant et abusant de sa femme, paresseux et tentant par tous les moyens de convaincre son fils de commettre vols et autres délits pour permettre à la famille de se sustenter plus correctement, il buvait tout l'argent de la maigre pension de son épouse.
    Très vite, le ton monta entre les deux hommes et Joszef, d'ordinaire si peu loquace, laissait éclater sa colère un peu plus violemment à chaque fois. Jusqu'au jour où il leva la main sur son père. Et dire qu'il n'y alla pas de main morte est un doux euphémisme, il sonna l'homme pour le compte et le défigura à coups de poings. Aujourd'hui encore, bien qu'adulte et fort lucide sur la brutalité dont il faisait preuve à l'époque, il n'éprouve pas la moindre honte quant à ce geste. Et voilà pourquoi.
    Si Joszef avait attaqué son père de front, son géniteur n'en fit pas de même. Il attendit que son fils s'endorme pour lui fracasser une bouteille sur le visage, c'est là l'origine de cette cicatrice qui lui découpe la joue en deux. Il l'attacha ensuite solidement et alla le livrer purement et simplement à la police, prétendant l'avoir blessé dans un acte de légitime défense. Déjà trop bien connu par les autorités, le jeune homme ne put rien pour défendre sa cause, d'autant qu'il était absolument coupable d'avoir attaqué son père. A la suite de son procès, un choix lui fut offert. Des années de prison, ou l'armée. En 2012, la pénurie énergétique commençait à se faire ressentir, aussi la république hongroise recrutait-elle tous les individus ayant un tant soit peu la carrure de l'emploi.

    Il choisit l'armée, et décida du même coup de changer d'identité. Joszef Madgyar n'était plus et ne serait plus jamais. Il se fit appeler Gabriel, et aujourd'hui encore, refuse d'en donner la raison à ceux qui pourraient lui poser la question, et rapidement, même ses supérieurs prirent cette habitude. On pourrait croire qu'en entrant dans l'armée, Gabriel trouva la famille qui lui avait toujours fait défaut. Ce ne fut qu'à moitié vrai. Il s'y fit des amis, oui. Y apprit la discipline, le respect, la droiture et à canaliser sa brutalité, oui. Il y suivit un entraînement qui lui permit de s'approcher en quelques années de l'élite des combattants, oui également. Il y apprit les responsabilités, à veiller sur ses hommes et à commander. Il découvrit la stratégie et les bases de l'infirmerie militaire. Mais rien de tout cela ne se fit en douceur. A ses débuts, seuls les coups et la force pouvaient lui faire entrer quelque chose dans la tête. Mais une fois ses barrières naturelles soigneusement réduites en miettes, il se montra un soldat exemplaire et commença à gravir les échelons. Cinq ans plus tard, il était lieutenant, à la tête d'une brigade composée d'une quarantaine d'hommes et femmes choisis par ses soins et souvent détachés à la frontière Russe pour défendre la Hongrie contre le harcèlement incessant qu'elle subissait de la part des soviétiques.

    N'essayez pas de trouver ces informations à son sujet dans une banque de données ou une autre. Gabriel a payé un hacker de renom à prix d'or, lorsqu'il était à Seattle, pour effacer toute trace de son passé. Tous les renseignements que l'on peut trouver à son sujet datent de deux ans après l'invasion, lorsqu'il rallia Saint-Pétersbourg avec son sergent.



    Et l'invasion? A la frontière sud de la Russie lors de l’Invasion, il découvrit ce qu’était la véritable horreur. De tout son bataillon, seuls deux survivants, lui et son sergent, qui aujourd’hui est encore sous ses ordres.
    Outlanders durant deux ans, les deux amis parcoururent une Europe dévastée, survivant aux Créatures avec un talent amélioré de jour en jour. C’est durant ces deux années qu’ils rencontrèrent celle qui allait devenir leur sniper. Mais, lassés de cette vie sans but, ils regagnèrent Saint-Pétersbourg où ils s’embarquèrent dans un cargo à destination des Etats-Unis, espérant trouver là-bas une vie plus intéressante et peut-être un peu moins hostile.
    Une année passée là-bas leur permit de recruter leur quatrième et dernier membre, Cole. Ils travaillèrent pour l’armée américaine en tant qu'éléments libres et si ce fut ce qui leur permis de se faire un nom et de s'établir en tant que compagnie de mercenaires, Gabriel révéla ne tolérer qu'extrêmement mal la hiérarchie militaire. Libéré deux ans durant du carcan que l'armée hongroise lui avait imposée sans qu'il ne s'en rende compte, il refusait purement et simplement de s'y plier à nouveau. Puisque les quatre mercenaires étaient surnommés les loups, ils prirent le nom de Wolves.
    Et c'est en quittant le sol américain pour retrouver la Russie que Gabriel acheva de modifier son identité. Joszef Madgyar avait été quelqu'un d'autre, une autre vie, qui certes, l'avait construit, mais dans laquelle il ne se reconnaissait plus le moins du monde. Gabriel Wolves, portant le même nom que cette famille enfin trouvée, Gabriel Wolves, le lieutenant réfléchi et discret, bien loin du gamin dont la plus grande force était également la plus grande faiblesse, sa violence.
    Forts de leur réputation, la meute s'établit dans les Hangars il y a cinq ans de cela et aujourd'hui sont une pièce à ne pas ignorer sur l'échequier de la ville.


Gabriel Wolves Actualite
    Date d'arrivée : 2021
    Raisons de votre présence à Saint-Pétersbourg : Le choix était simple, la ville était la seule encore debout que Gabriel connaissait hors du territoire américain. Ne voulant plus se commettre avec l’Etat américain qu’il considère comme futile et méprisable, il ne lui restait qu’à revenir en une région proche de ses racines.

    Activité exercée : Lieutenant des Wolves. Souvent chargés de missions sensibles par le gouvernement de Saint-Pétersbourg, ils sont régulièrement amenés à effectuer des sorties en extérieur. Surentraînés, préparés jusqu’au moindre détail, ils sont prêts à faire face à tous les cas de figure, et ces quatre mercenaires ne font pas mentir leur réputation. Efficaces, redoutables, ils visent la perfection et se targuent sans mentir d’être les meilleurs dans leur domaine. Gabriel y tenant certainement plus encore que les autres. Ils acceptent également des missions privées, tenant particulièrement à leur indépendance vis à vis du gouvernement temporaire de Russie qui n'est qu'un employeur, mais cela coûte cher, très cher.

    Lieu de résidence : Tanière des Wolves. Certes, l’endroit n’est pas tourné vers le confort absolu, mais il s’y sent à son aise et apprécie de la partager avec sa meute. Constituée d'un seul hangar, cette tanière est avant tout dévolue à l'entreposage et l'entretient de leur équipement. C'est pour cela que la majeure partie de la grande pièce est dévolue au parcage de leurs véhicules. La partie servant de lieu de vie est séparée en deux zones bien distinctes. Un salon, quoi qu'assez incongru puisqu'installé à une dizaine de mètres tout au plus de leurs machines, constitué d'un grand canapé et de plusieurs fauteuils tous aussi déglingués les uns que les autres. Une cuisine flanque le salon, où ils se chargent de la corvée journalière à tour de rôle. Non loin de là, trois vastes bureaux, pliant presque sous le poids du matériel informatique de la compagnie, domaine exclusif ou presque du sergent.

    En retrait, plusieurs box alignés, faits de séparations d'open-spaces assemblées les unes aux autres, dédiés au repos et à l'intimité de leurs occupants. Certains d'entre eux sont vides, attendant qu'on leur trouve une utilisation quelconque. L'un est dévolu aux soins médicaux et dispose du matériel indispensable.
    Seule partie fermée du hangar, la salle de bain, qui s'apparente plus à un petit vestiaire, avec ses douches communes et ses bancs en bois, qu'à une vraie salle de bain.
    En sous-sol, l'armurerie qui sert également d'atelier de réparation et d'entretien de l'équipement et quelques longs couloirs dévolus à l'entraînement au tir et au test de leurs armes. Il s'agit bien évidemment de la partie la moins accessible de la tanière, pour tout dire, peu nombreux sont ceux qui connaissent leur existence.
    Si l'entrepôt est d'apparence vétuste, c'est une illusion trompeuse. La première chose que les loups ont fait en s'y installant a été de le renforcer et de le doter de systèmes de sécurité on ne peut plus sophistiqués. Légitime méfiance, bien que rares soient ceux qui oseraient s'attaquer à leur antre et risquer les foudres de la meute.

Gabriel Wolves Xanadu

    RAS. Gabriel n’est pas un adepte de l’isotope A1-280. Même s’il lui accorde de permettre à l’humanité de survivre, il reste extrêmement méfiant à son égard et évite autant que possible de l’utiliser, quelle que soit sa forme.
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Gabriel Wolves

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